Miroir est une installation photographique qui s'inspire du livre et du film "Le Seigneur de la forêt", produit par la Fondation scientifique internationale et sous la présidence d'honneur de Léopold III en 1958. Le Congo est un vaste territoire, qui se bat à cette époque pour son indépendance. Durant cette même période dans le monde on note la sortie de films comme
(Sueurs froides, Soif du mal, La Forteresse cachée, etc.)
‘Le seigneur de la forêt’ porte un regard sur une communauté spécifique dans la forêt tropicale du Congo.
En la qualifiant d'authentique « l'homme n'a cessé de porter perturbation à l'équilibre de la nature depuis l'aube des civilisations » Une phrase de l'introduction du livre.
Et quelques autres phrases du même livre :
« Parmi ces régions épargnées, il en est une, en Afrique centrale, dont l'intérêt a été reconnu et souligné par S.M. le Roi Léopold III, président d'honneur de la Fondation scientifique internationale ».
« Selon les besoins de chaque moment de son histoire, le Congo a vu se poursuivre l'œuvre des Souverains belges : après la fondation de l'État, grâce au génie créateur de Léopold II, son successeur, le Roi Albert 1er, sanctionner la protection de grands espaces naturels par la création de Parcs nationaux »
Mon regard sur cette pièce se concentre sur l'époque « 1958 » la bataille de l'élite politique congolaise pour obtenir l'indépendance du Congo. Et à cette même période il y avait l'exposition universelle de Bruxelles donc le regard fait allusion au Zoo humain.
Comment pouvons-nous regarder un groupe des personnes dans une partie du grand Congo qui depuis la nuit des temps ont leur propre sens de l'indépendance ?
Comment peut-on les voir cohabiter avec la nature ?
Comment ces gens peuvent-ils être représentés au monde comme des gens qui rejettent le colonialisme et désirent une indépendance totale sur leur propre territoire ?
Miroir montre la réflexion et la lecture de l'âme du grand seigneur de la forêt, Léopold lui-même, un homme qui tenait tant au Congo qu'il voulait le garder pour lui.
Miroir est une installation photographique qui s'inspire du livre et du film "Le Seigneur de la forêt", produit par la Fondation scientifique internationale et sous la présidence d'honneur de Léopold III en 1958. Le Congo est un vaste territoire, qui se bat à cette époque pour son indépendance. Durant cette même période dans le monde on note la sortie de films comme
(Sueurs froides, Soif du mal, La Forteresse cachée, etc.)
‘Le seigneur de la forêt’ porte un regard sur une communauté spécifique dans la forêt tropicale du Congo.
En la qualifiant d'authentique « l'homme n'a cessé de porter perturbation à l'équilibre de la nature depuis l'aube des civilisations » Une phrase de l'introduction du livre.
Et quelques autres phrases du même livre :
« Parmi ces régions épargnées, il en est une, en Afrique centrale, dont l'intérêt a été reconnu et souligné par S.M. le Roi Léopold III, président d'honneur de la Fondation scientifique internationale ».
« Selon les besoins de chaque moment de son histoire, le Congo a vu se poursuivre l'œuvre des Souverains belges : après la fondation de l'État, grâce au génie créateur de Léopold II, son successeur, le Roi Albert 1er, sanctionner la protection de grands espaces naturels par la création de Parcs nationaux »
Mon regard sur cette pièce se concentre sur l'époque « 1958 » la bataille de l'élite politique congolaise pour obtenir l'indépendance du Congo. Et à cette même période il y avait l'exposition universelle de Bruxelles donc le regard fait allusion au Zoo humain.
Comment pouvons-nous regarder un groupe des personnes dans une partie du grand Congo qui depuis la nuit des temps ont leur propre sens de l'indépendance ?
Comment peut-on les voir cohabiter avec la nature ?
Comment ces gens peuvent-ils être représentés au monde comme des gens qui rejettent le colonialisme et désirent une indépendance totale sur leur propre territoire ?
Miroir montre la réflexion et la lecture de l'âme du grand seigneur de la forêt, Léopold lui-même, un homme qui tenait tant au Congo qu'il voulait le garder pour lui.